Visions empreintes, territoires empruntés / 2000

 

 

 

 

 

Elles aussi flirtent avec les limites, mes limites ; celles du geste, du corps, de la maîtrise des éléments mis en jeu face à l’intention première. Ils sont intimement liés au processus de création. Le passage à l’image me permet de changer de système de référents afin de me raccrocher au monde et à un réel possible Visions empreintes-territoires empruntés, cartographie et projections. Ce long cheminement au fil d’un processus qui fait écho s’installe petit à petit avec la question récurrente : « quand cet entraînement vers l’avant s’arrêtera t’il ? », comme si l’épuisement était l’aboutissement. L’idée d’un travail à tiroirs m’a toujours intrigué à la fois dans le processus mental et dans la réalisation.